PNJ master de Lamia Scale.

Fiche d'identité

Physique

Une splendide créature à la chevelure d’émeraude. De son doux minois au teint frais de rose, se dénote ses prunelles saisissantes, des rubis éclatant. Elle a les traits doux, charmants, séduisant. Mais elle sait également assombrir cette mine, pouvant transpercer le cœur de ses victimes. Son regard est son arme première, avec sa beauté édifiante. La donzelle culmine bien haut avec son mètre soixante et quinze. Et sa masse est bien modeste, soixante kilogrammes qu’on ne serait sentir. Sa silhouette élancée se veut bien sculptée, garnie pour charmer dirait-on. Mais elle se vêtit d’élégance, et éventre alors toute décadence. Elle est belle, c’est tout. Son ensemble parait classique, vieillot ou encore noble.  Elle l’agrémente d’une ravissante ombrelle, son arme de prédilection, cachant une lame. La dame est une grande bretteuse, maniant fleuret et rapière, comme nulle autre. Ses aptitudes sont remarquables, dont notamment son intellect aiguisé. Elle est également redoutable à mains nues. Sa démarche est gracieuse et sa gestuelle vénérable. Du reste elle arbore sa marque de guilde dans le bas du dos.

La belle en images : forme humaine ~ forme diabolique

Personnalité

Avant d’être mage, et maîtresse de guilde, elle est femme. Son cœur est pur. Elle est telle une mère pour ses mages, les veillant et écoutant. Pour eux ses traits se détendent, dévoilant alors une bien délicieuse demoiselle. Elle n’est d’ailleurs guère encline à être séduite. Nombre prétendants s’écorchent d’aventure à ses épines. Mais elle est bien douce, charmante, agréable. Sa verve s’adapte à l’autrui, mais elle demeure polie. A moins qu’elle n’ait affaire à de viles gens. Là elle se veut glaciale et dure, effroyable dit-on. Ses ennemis la redoutent et frémirent à l’ennuyer. Elle protège ses petits qu’on injure ou meurtri. Elle entretient de bonnes relations avec le Conseil de la Magie, qui traite avec égards sa guilde. Mais elle demeure humble, et ne se pense supérieure à ses confrères. Quoi qu’elle s’aime à plaisanter et taquiner parfois, même ses petiots. Ceux-là peuvent témoigner de sa tendresse, de sa grande bonté. Telle une déesse de miséricorde, elle accueille qui en a besoin, et l’étreint d’affection. A vrai dire, elle n’enlace grand monde, mais elle est fort généreuse. Mage sainte adulée, la verdâtre maintient son image, seule égalée à ce jour, par sa rivale, une certaine blonde. Luka l’apprécie, cette autre excentrique. Mais elle encourage la jeunesse à s’épanouir et devenir ces héros qu’ils n’adulent que trop, comme elle. Du reste, elle n’hésite guère à corriger qui trouble la paix, avec délicatesse bien entendu; puis virulence s’il le faut.

Histoire

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